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Selon une étude menée par le Bureau of Labor Statistics en 2023, près de 60% des travailleurs américains ont envisagé de changer de carrière au cours de l’année écoulée. Un chiffre qui n’a cessé de grimper depuis la pandémie de Covid-19, qui a bouleversé notre rapport au travail et nos priorités. Les raisons sont nombreux : insatisfaction salariale, manque de reconnaissance, stress chronique, déséquilibre entre vie professionnelle et vie privée, ou tout simplement l’envie de donner un nouveau sens à sa vie. Mais comment naviguer dans ces eaux troubles ? Comment savoir si c’est le bon moment pour changer de cap, et surtout, comment s’y prendre ? Nous avons mené notre enquête sur ce phénomène de société qui touche de plus en plus de travailleurs.
Identifier la source du mal-être au travail
Le mal-être au travail peut avoir plusieurs origines. Il est donc nécessaire de déterminer la raison qui pousse un individu à vouloir changer de travail. Les sources de ce mal-être peuvent être variées : ambiance, relations avec les collègues, tâches répétitives, vision de l’entreprise, horaires, problèmes personnels ou projet professionnel. Une fois le problème identifié, il sera plus facile de prendre une décision.
Avant de prendre une décision radicale comme la démission, il est recommandé d’essayer d’arranger la situation. Des solutions peuvent être envisagées telles que l’emploi du temps souple, de nouveaux outils, une organisation différente, une augmentation de salaire, une formation continue ou un changement de poste en interne. Si le mal-être persiste et qu’aucune solution n’est envisageable, il est alors temps de passer à l’action.
Options pour remédier au mal-être au travail
Il existe plusieurs possibilités pour partir dans de bonnes conditions, telles que la rupture du contrat de travail ou la démission. Il faut ne pas démissionner sur un coup de tête et de réfléchir à la meilleure stratégie de départ. 💡 Des congés de courte durée peuvent aider, tout comme un dialogue avec l’employeur pour envisager des solutions.
📋 Options | Conséquences |
---|---|
Rupture du contrat de travail | Peut permettre une transition en douceur vers un nouvel emploi |
Démission | Risques en termes d’allocations chômage |
Congés de courte durée | Peut aider à prendre du recul et à réfléchir à ses options |
Dialogue avec l’employeur | Peut permettre de trouver des solutions pour améliorer la situation |
Explorer de nouvelles opportunités professionnelles
En cas de mal-être persistant, il faut réfléchir à une évolution professionnelle en se basant sur ses acquis, ou même envisager une reconversion professionnelle. La validation des acquis de l’expérience (VAE) et la formation peuvent être des pistes à explorer. Le Conseil en évolution professionnelle (CEP) est un service gratuit et précieux pour entamer cette réflexion, accessible à tous les salariés, indépendants ou demandeurs d’emploi, et dispensé par des professionnels neutres.
Des opportunités dans des métiers tels que chauffeur livreur, conducteur de ligne, ou encore dans le secteur de l’agriculture peuvent être envisagées, comme mentionné sur le site Oreka.
Prendre soin de sa santé mentale et physique
Il est fondamental de maintenir un équilibre entre la vie professionnelle et personnelle pour prévenir l’épuisement professionnel, aussi appelé burn-out. Des activités de détente et de relaxation, comme le yoga ou la méditation, peuvent aider à gérer le stress et l’anxiété liés au travail. De même, une alimentation équilibrée et une activité physique régulière sont des facteurs clés pour maintenir une bonne santé physique et mentale.
Il est également important de consulter un professionnel de santé si le mal-être au travail persiste. Un psychologue ou un coach de vie peut aider à comprendre la source du problème et à trouver des solutions adaptées. Il est possible de se tourner vers un médecin du travail ou un syndicat pour obtenir des conseils et un soutien.
Se former pour une reconversion professionnelle
Si le mal-être au travail est lié à un manque d’intérêt pour les tâches quotidiennes, une reconversion professionnelle peut être envisagée. Il existe de nombreux organismes de formation qui proposent des cours pour acquérir de nouvelles compétences ou se spécialiser dans un domaine précis. Ces formations peuvent être financées par le compte personnel de formation (CPF) ou par d’autres dispositifs d’aide à la formation.
Il faut réseauter et de se renseigner sur les opportunités d’emploi disponibles. Participer à des salons de l’emploi, rencontrer des professionnels du secteur visé ou consulter des offres d’emploi en ligne peut aider à identifier de nouvelles pistes de carrière.
Que faire quand on en a marre de son travail ?
Maxime (Saint-Étienne) : « Le manque de reconnaissance et d’évolution, une lassitude grandissante »
Mon expérience professionnelle a été marquée par une lassitude vis-à-vis de mon emploi. J’ai passé huit longues années dans la même entreprise, sans percevoir d’évolution significative. Le manque de reconnaissance de la part de mes collègues a accentué ce sentiment de stagnation.
Malgré mon investissement et mon dévouement, j’ai souvent eu l’impression que mes efforts n’étaient pas valorisés. Cette ambiance de travail délétère a fini par peser lourdement sur mon moral. J’ai donc décidé de prendre du recul, de penser à moi-même et à mon avenir professionnel.
Face à cette situation, j’ai envisagé plusieurs options. La première, démissionner pour trouver un nouvel emploi, m’offrait la possibilité d’un changement radical. La seconde, prendre un congé parental, me permettait de prendre le temps de réfléchir à mes aspirations professionnelles. Ce sont des décisions difficiles à prendre, mais nécessaires lorsque le mécontentement au travail devient trop lourd à porter.